Au début des années 90, la nouvelle vague d’opérations immobilières a débuté.
Voici la liste de ces nouveaux immeubles, par date de construction.
Vous pouvez aussi voir la liste des dates de l’histoire de Sotteville où figurent les bâtiments plus historiques.
1991 : Résidence Pierre Mendès-France
1994 : Résidence Néel, rue Léon Blum.
1995 : Résidence Eldorado : trois bâtiments situés 39, 49 et 59 rue Léon Blum, au niveau de la station de métro Voltaire.
1996 : Résidence du Puits de la Montée, 31 rue Pierre Corneille
1999 : Résidence L’Orangerie, 5, 7 et 9 rue de Trianon.
2000 : Résidence Le Carré Voltaire, 93-157 rue Léon Blum et 59 rue Pierre Bérégovoy.
2002 : 3 immeubles construits sur le terrain de l’ancien dépôt des tramways : Le Manitoba, le long de la rue de Trianon, le Junon, 1 rue du Madrillet, et Le Vancouver, coudé, donnant à la fois sur la rue du Madrillet et la rue de Trianon.
2002 : Résidence Germinal
2003 : Résidences Les Opéras et Les Symphonies, rue Léon Blum, de part et d’autre de la rue Bazire, à l’emplacement d’anciennes maisons qui ont été rasées dans le but d’élargir la rue, pour accueillir la ligne de métro.
2003 : Résidence Ontario
2005 : Villa Espéranto, rue des Déportés
2005 : La Villa Urbaine, 513 rue de Paris : dix-huit maisons de ville et huit logements collectifs (mini-tours).
2006 : Résidence 1 et 3 rue de Trianon et place de Martyrs de la Résistance, après démolition du mythique bar-restaurant « Le Cheval Noir ».
2007 : Les Érables, 4bis, rue du Madrillet et 7bis, avenue des Canadiens
2008 : Olympies
2009 : Résidence Capréra, rue Garibaldi, à l’emplacement du temple protestant (église réformée) qui datait de la Reconstruction et démolie en juillet 2008.
2010 : Résidence du Puits Feugère, rue de Trianon
2008 : Résidence rue Lucien Bonnafé, composée de 6 bâtiments de 11 appartements chacun. Architecte : Jean-Patrick Fortin
2010 : Résidence CC, bleue, en forme de locomotive diesel CC 72000, clin d’œil à l’histoire ferroviaire sottevillaise.
2011 : Résidence rue Cité Grenet
2011 : Résidence Les Lilas (15 logements sur 2 immeubles) rue Léo Lagrange.
2013 : Résidence Esmeralda, rue de Toulon
2014 : Résidence Lucie Baud, rue Fouache
2014 : Résidence Surena : 35 logements collectifs, rue Pierre Corneille, face à la rue Colombel.
2014 : Résidence Rosine Crémieux, 39 logements collectifs situés 515-519, rue de Paris sur un ancien terrain SNCF.
2015 : Résidences « L’Orée aux Loups », rue Demarest. Nom des immeubles dans l’ordre en partant de la rue Garibaldi : Henriette MAZOT, Madeleine BRES, Jeanne BARRET. Ils occupent l’emplacement qu’avait le magasin (Prisunic, puis Intermarché, puis Netto) qui datait de la reconstruction d’après-guerre et son parking, démoli en 2011/2012.
2015 : Deux nouvelles résidences rue Léon Blum, à l’emplacement de maisons et terrains situés en contrebas de la rue : Cécile Brunschvicg à l’angle de la rue Ernest Renan et Suzanne Lacore à l’angle de la rue Barbet, jusqu’à la rue Emile Zola.
2016 : Résidence Olympe de Gouges, 34 av du 14 juillet.
2016 : Résidence Catherine Varlin, construite sur une partie du terrain de l’ex-résidence Saint-Joseph, à la pointe des rues de Paris et Pierre-Corneille
2016 : Résidences Bertie Albrecht, Marcelle Pardé et Simonne Plessis, ainsi que la réhabilitation énergétique des résidences Cité Grenet et Ledru-Rollin. Ce réaménagement a entraîné la création de la rue Germaine Tillion.
2017 : Résidence Louise Alcan : 11 logements, 24 rue Pierre Corneille.
2017 : Résidence Violette Szabo : 63 logements individuels et collectifs, 2 rue de la Gare, à l’emplacement de l’ancienne résidence B, qui était destinée aux logements des agents célibataires de la SNCF.
2018 : Résidence Laure Diebold place René Salmon, à l’angle de la rue des frères Canton et Léon Salva.
2018 : Résidence Berty Albrecht, 68 rue de la République.
2019 : Résidence Simone Veil (65 logements), à l’angle des rues Quesnay et Léon Blum
2019 : Résidence Malala Yousafzai (18 logements) rue Bugnot.
2020 : Résidence Marie Marvingt, située au-dessus de la maison citoyenne Grenet-Voltaire, 25 bis rue Pierre Corneille.
2020 : Résidence Charlotte Perriand : 52 appartements en deux immeubles et cinq maisons dans l’îlot Raspail / Hugo / Boieldieu.
2020 : Résidence Georges Sand (20 logements)
2021 : Résidence Louise (ou Louisa) Riggall, rue Jean-Hyacinthe Vincent.
2021 : Résidence Denise Bloch, 29-31 rue du Cours, 39 logements, là où était la maison de Joséphine et Edouard Vain, qui ont caché des enfants juifs.
2022 : Résidence Sabine Weiss, rue Jean-Hyacinthe Vincent, sur l’ancien site de Castres Équipement, fermé en 2017 pour déménagement.