Démolition de l’ancien internat du lycée Marcel Sembat

Souvenez-vous, c’était en 2006…
Après des mois de désamiantage et de « déconstruction » à l’intérieur, la démolition en août a été très impressionnante…
C’était le point de départ de la rénovation du lycée Marcel Sembat qui a duré plusieurs années…

La cuisine était au sous-sol. Au rez-de-chaussée, il y avait les deux réfectoires de 300 places chacun. Au premier étage, l’infirmerie. Aux étages 2, 3, 4, 5, 6 et 7, il y avait les chambres d’internat. Au 8ème, c’était l’atelier Mavelec (aujourd’hui nommé Système Électronique et Numérique). Au 9ème, des logements de fonction.

Vous pouvez revoir la vue aérienne pour situer l’internat.
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Démolition de l'internat du lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen en 2006 Démolition de l'internat du lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen en 2006 Démolition de l'internat du lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen en 2006 Démolition de l'internat du lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen en 2006 Démolition de l'internat du lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen en 2006 Démolition de l'internat du lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen en 2006 Démolition de l'internat du lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen en 2006 Démolition de l'internat du lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen en 2006 Démolition de l'internat du lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen en 2006 Démolition de l'internat du lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen en 2006 Démolition de l'internat du lycée Marcel Sembat à Sotteville-lès-Rouen en 2006

13 commentaires

  1. Externe à Marcel Sembat (1978-1981), ma seule incursion dans cet internat fut pour aller à l’infirmerie, qui se trouvait à l’étage (je ne sais plus lequel, en tout cas pas au RDC), avec interdiction de prendre l’ascenseur. Donc pour aller à l’infirmerie il fallait être en forme !

    A part ça, c’était quand même un bâtiment emblématique de Sembat, et même de Sotteville de par son architecture (notamment la place du verre, et son originale couleur bleue)

    • Je confirme aller à l’infirmerie au 8ème (???) à cause d’entorse cheville un grand moment à 8h du matin en descendant du car scolaire.

      + de 8h avant que quelqu’un me récupère pour aller à l’hôpital y être plâtrée.

      la cantine, elle rdc du bâtiment, un grand moment aussi quand de sympathiques élèves internes balançaient des sacs remplis d’eau sur la file d’attente.

  2. A cette époque, les « nouveaux bâtiments » (ateliers de mécanique, classes techniques…) avaient été construits de l’autre côté de la rue Leon Salva par rapport aux anciens bâtiments (toujours utilisés pour les matières classiques). Comme la traversée de cette rue par des hordes de jeunes était dangereuse, une passerelle avait été construite pour relier les 2 ensembles.(une passerelle sommaire en ferraille, pas l’actuelle)
    Laurent, ce serait cool s’il était possible d’en retrouver des photos.

  3. L’ancienne passerelle existait dans les années 78-81, à l’époque impossible de traverser la rue car le portillon qui donnait accès à la cours en U était contrôlé par les « concierges », M et Mme Beauquesne.
    L’hiver la passerelle était glaciale. Pour aller manger à midi c’était une couse éperdue pour arriver les premier à l’une des deux entrées du réfectoire sans trop faire la queue, où l’on se faisait parfois canarder par des « bombes à eau » lancées par les internes.
    Le CDI, au départ au centre du batiment en U (au dessus de l’amphi de physique ) avait migré au débit des années 80 dans un batiment bleu coté internat de 2 étages (il abritait aussi le « ciné club » et la salle du foyer). Ce batiment à aussi disparu au cours de la resructuration de 2006 (ou avant ?). Une première restructuration avait eu lieu en 1991 : construction du batiment au centre de la cours avec le nouveau CDI, les salles de SVT la salle des profs, le grand hall et la nouvelle passerelle avec des salles au dessus de la rue.

  4. J’ai habité au 8ieme étage du bâtiment de l’internat ma mère était attachée d’intendance et elle avait un logement de fonction qui se situait au dernier étage du bâtiment de l’internat au 7ieme étage il y avait l’infirmerie au 6ieme les classes électromécanique et les 5 autres étages étaient l’internat voilà pour la partie internat . J’ai habité là de 1979 à 1986 en 1986 la passerelle qui reliait les deux parties de l’établissement existait encore, après je ne sais pas nous avons changé de région

  5. Beaucoup de souvenirs dans cette bâtisse, interne durant mes 3 années de lycée de sept 1989 à juin 1992…. surtout la première année les dortoirs étaient bien vieux…

  6. Souvenirs, Souvenir… aux Lycées Marcel SAMBAT.. à mon époque ma génération ne prononçaient pas le « T » de SAMBAT.

    Que de Souvenir en Effet, en Lissant vos commentaires… j’ai du faire partie des dernières promotions de cet internat car nous n’occupions plus que les 3ème et 4ème étage à demi-plein et seulement les garçons. C’était en l’an 2000 tout rond ! Et je vous confirme bien que le bâtiment était très vieux surtout les douches, c’était plein de courant d’air ! Heureusement il y avait une section de 5 ou 6 douches individuelle fermant avec juste un rideau, si non c’était à l’ancienne douche-ouverte sans intimité aux Sprinkler ou presque [ Gros pommeaux sur des tuyaux peint en Blanc suspendu aux plafonds métallique !!! Juste à coté de gros lavabo long et énorme ! L’infirmerie était au 2ème étage porte Orange/rose sur le coté droit, les handicapés et béquilles étaient autorisé à prendre l’ascenseur. Le personnels d’entretient vivaient tout en haut, le 8ème. Je crois qu’il y avait aussi des appartement de fonctions dans le dernier étage du Bat. U à coté de l’horloge, car cette section était interdit au public et élèves. Les vitres, de l’internat, étaient à bascule au NORD et à Glissières au SUD ! Originalité du Bâtiment.D’ailleurs dans les chambres au SUD donc à droite il faisait très chaud dès le printemps avec moins d’air car les fenêtres à glissières étaient moins grande et se glissaient que sur la moitié de leur longueur. Et le soir il n’y avait pas beaucoup de lumière au pied de l’immeuble ou nous devions aller pour fumer, car interdit dans l’internat, bien que sans détecteur de fumé, nous respections la règle. En parlant de lumière comme il n’y avait pas de rideaux dans les chambres nous dormions à la bonne lumière orange des réverbères de Sauteville surtout les Chambre coté SUD à cette époque quand le ciel était nuageux ou brumeux, le ciel et la Brume se tintaient d’Orange.

    Pour le reste l’hiver on avaient froid et les fenêtres pouvait laisser passer un courant d’air ressentit à même la main et l’été c’était une étuve mais à l’époque on avait des températures encore de saison. Je suis content de pas avoir eu a monter au 7e ou 8e pour des cours d’électrotechniques, ça m’aurait vraiment barbé de faire ça à pied. Les Filles dormaient dans un ou d’autres internats pas très loin mais je ne me rappel plus quels établissements les accueillaient.

    Concernant le Bâtiment E, celui qui était en face de l’internat [à la place du Gymnase mi-enterré actuel], Les deux bâtiment formant une sorte de ‘L’ non-joint. Le Bat. E était attenant aux anciens atelier de mécanique [MSMA, (Maintenance des Systèmes Mécaniques Automatisés), comme ont disaient] et Electro-techniques aussi sans oublier Pneumatique, Bâtiments en partie détruit pour faire une esplanade qui fût nommée des années plus tard quand d’autres, bâtiments furent Rénovés, avec toits-végétalisé, Oui parcequ’il faisait chaud en MAI, JUIN dans ces salles sans végétaux. En 2000 aux étages du Bat. E on avait nos cours de dessins industriel et Physique-appliqué au Rez de chaussez ou 1er il y avait une longue salle libre accessible par une rampe ou un long escalier qui était utilisait pour faire une sorte de Buvette/Cafétéria/Radio_Crochet/Libre tout ça sous la gestion d’une Association Légale [loi 1901].

    Le midi après la cantine/Réfectoire et je confirme qu’il fallait courir pour éviter 45 minutes de queue collé-serré, et aussi pour ce garantir le choix des desserts, car même en self il y a avait des limites de tel et tel choix. Premier Arrivé -> premier Servit et max de choix ! Par contre nous ne lancions plus de bombe à eau sur les externes, car nous n’avions plus le temps en 1h fallait courir au réfectoire, faire la queue, manger, sortir fumer, aller aux sanitaires, revenir au Bat. U , J’aimais me détendre avec des copins et copines avec les bancs sous les bois, de Garenne, avant la reprise des cours enfin les rares fois ou nous avions pas cours à 13h, fallait bien 5 minutes ou plus pour rejoindre les salles dans les Bâtiments U à l’étage, D’ailleurs les portes d’accès étaient encore en 2000 en Vieux bois battant et simple vitrage partout !

    Dans les années 2000 ont pouvaient rentrer quasiment par toutes les portes et entrées sauf les sorties secours et les cuisines. Il n’y avait pas d’entrée ÉLÈVES, n’y d’interphone sous l’entrée passerelle/triangle_vitré_Hall. Dans ce Hall il y avait des Sanitaires et je crois qu’il y avait un piano aussi quelque part près d’un pilier bleu de mémoire.. non loin de là un Amphi je crois dans la partie basse du Bâtiment Triangle vitré [ construit dans la partie droite de la cours du Bat. U en regardant l’Horloge] et à son étage il y avait les Bureaux de Directions et d’intendance. En Bas a Droite depuis l’entrée les services des CPEs et autres surveillances.

    En 2000 dans le Bat. U c’était encore des tableau Noir à la craie et dans la Passerelle et le Bâtiment E des tableaux Blanc aux feutres. Il me semble bien qu’il y avaient des classes dans un des étages de la passerelle, au dessus de la Rue Léon Salva.

    Dans la cour du U il n’y avait pas beaucoup d’arbres mais à mon époque on pouvait y fumer et oui ! La vapoteuse n’existait pas encore n’y la loi sur le Tabac dans les lieux publique, Donc le week end ont utiliser les Wagons Classe 2 Fumeur de la SNCF … tous les week end je rentrais à domicile dans le pays de Caux/Vallée de Seine.

    Bon j’espères que ma prof de Fran©ais n’espionne pas ma grammaire et mon orthographe du moment.

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