Juste avant la démolition de ces maisons en 2015, on pouvait voir les traces de l’activité commerciale et sociale qui régnait autrefois dans ce quartier…
Et oui, c »était l’époque où la gare de Sotteville-Lès-Rouen était très importante notamment comme gare de triage mais aussi comme gare de voyageurs, d’où la présence de ce genre de commerce.
Fin des années 70, début des années 80, il y avait encore un chef de gare, souvent accompagné d’un jeune en formation.
Un certain nombres de directs Rouen-Paris (peut-être en provenance du Havre) faisaient en fait Rouen- Sotteville- Paris (St Lazare) . Et en sens inverse aussi.
Après, je n’ai plus guère fréquenté la gare, mais j’ai su que le chef de gare était remplacé par un distributeur de tickets, et la SNCF a préféré ouvrir une agence commerciale rue Garibladi (désolé 😉 face à la place de l’Hôtel de ville, à proximité de la Chartreuse de Parme. (Petit, j’avais été surpris que Stendhal ait nommé un de ses romans du nom de la pâtisserie de Sotteville)
Je m’égare (eh ! gare !) encore. Je suis incorrigible !…
Je trouve que l’immeuble situé en bas du pont d’Eauplet (159 rue Vincent Auriol) est un bel hommage au passé ferroviaire de Sotteville avec sa forme empruntée aux locos « nez cassé » du designer Paul Arzens.
Et oui, c »était l’époque où la gare de Sotteville-Lès-Rouen était très importante notamment comme gare de triage mais aussi comme gare de voyageurs, d’où la présence de ce genre de commerce.
Fin des années 70, début des années 80, il y avait encore un chef de gare, souvent accompagné d’un jeune en formation.
Un certain nombres de directs Rouen-Paris (peut-être en provenance du Havre) faisaient en fait Rouen- Sotteville- Paris (St Lazare) . Et en sens inverse aussi.
Après, je n’ai plus guère fréquenté la gare, mais j’ai su que le chef de gare était remplacé par un distributeur de tickets, et la SNCF a préféré ouvrir une agence commerciale rue Garibladi (désolé 😉 face à la place de l’Hôtel de ville, à proximité de la Chartreuse de Parme. (Petit, j’avais été surpris que Stendhal ait nommé un de ses romans du nom de la pâtisserie de Sotteville)
Je m’égare (eh ! gare !) encore. Je suis incorrigible !…
Merci Benoit pour ces précisions, mais ce commentaire serait plus à sa place sur l’article concernant la gare : https://sottevilleaufildutemps.wordpress.com/2015/03/18/la-gare/
Je trouve que l’immeuble situé en bas du pont d’Eauplet (159 rue Vincent Auriol) est un bel hommage au passé ferroviaire de Sotteville avec sa forme empruntée aux locos « nez cassé » du designer Paul Arzens.