Démolition de l’ancien presbytère et construction de la nouvelle Maison Paroissiale

La démolition du presbytère de la rue Raspail a débuté le 8 septembre 2024. Un complexe immobilier prendra sa place.
La nouvelle « Maison Paroissiale », située rue Émile Littré, flambant neuve, a ouvert en août 2024.
Revenons sur ces transformations actuelles, grâce à une série de photos avant/après, sous cinq angles différents…

Le presbytère 2 rue Raspail à sotteville-lès-rouen
Démolition du presbytère rue Raspail à sotteville-lès-rouen

Angle 1 – Le presbytère en 2019, puis en cours de démolition le 9 septembre 2024

Le centre paroissial rue Raspail à sotteville-lès-rouen
Démolition du presbytère rue Raspail à Sotteville-lès-Rouen
Démolition du presbytère rue Raspail à Sotteville-lès-Rouen

▲ Angle 2 – Cette belle bâtisse, construite en 1956, n’est plus qu’un tas de gravats ce 12 septembre 2024

Les salles paroissiales rue Raspail à Sotteville-lès-Rouen
Les salles paroissiales rue Raspail à Sotteville-lès-Rouen
Construction d'un immeuble à l'emplacement des salles paroissiales rue Raspail à Sotteville-lès-Rouen

▲ Angle 3 – Sur le terrain des salles paroissiales, situées juste à côté, démolies en novembre 2023, un immeuble est déjà en cours de construction

Presbytère et salles paroissiales rue Raspail à Sotteville-lès-Rouen
Construction d'un immeuble à l'emplacement des salles paroissiales et du presbytère rue Raspail à Sotteville-lès-Rouen

▲ Angle 4 – Vu de l’angle des rues Raspail et Corneille, l’ensemble de l’îlot en 2019 et 2024

Les anciens ateliers municipaux rue Littré à Sotteville-lès-Rouen
La nouvelle maison paroissiale (presbytère) rue Littré à Sotteville-lès-Rouen

▲ Angle 5 – À l’arrière de ce même terrain, à l’emplacement d’anciens ateliers municipaux donnant sur la rue Littré, la nouvelle Maison Paroissiale, dont la construction avait commencé en janvier 2024, comporte plusieurs salles et un appartement à l’étage.

plan

▲ Plan du projet définitif, sur lequel sont représentés les angles de vues des avant/après précédents. Vous pouvez aussi agrandir cette image.

11 commentaires

  1. Il y avait – puisqu’il faut donc parler au passé – surtout la descente vers la grande salle en sous-sol. Les accotements en pente en faisaient des terrains de jeux uniques, avec des sensations garanties . Pour beaucoup de petits Sottevilais, c’est certainement un des (meilleur?) souvenirs du cathé.

  2. Merci pour ces souvenirs …

    1971 le Père Georges TRONEL, curé et l’Abbé Christian CATELIN sont en fonction sur la Paroisse NDA, je suis leur locataire (en façade, chambre du haut, au niveau de l’antenne de télé) pour l’année de fin d’études à Rouen. On partage le même frigo !..

    Voilà, 53 ans de vie sottevillaise et une page qui se tourne, pour la Paroisse Bienheureux Nicolas BARRÉ.

    • J’étais enfant à cette époque, mais il me semble que l’abbé Catelain était assez jeune, avec une barbe, non ? Vers 1968, certains sermons étaient un peu … virulents, et parfois des fidèles quittaient la messe en signe de désapprobation.

      • Oui, Vincent, l’abbé Catelain était de petite taille et portait un bouc.

        Il organisait l’été des camps pour ados en montagne car il était bon randonneur, voire alpiniste. J’ai participé à un de ces camps à la Chapelle-en-Valgaudemar, dans le Champsaur.

  3. Tout un pan de notre jeunesse, à nous les ados des années 70 : caté, persévérance, mais aussi la JOC, les camps de l’AEP avec les soirées diapos dans la salle souterraine ! Que de souvenirs !

    • Justement Sylvie, n’étais-tu pas animatrice de ce camp à la Chapelle en Valgaudemar, avec Christian Catelain comme guide ? Je le situerais vers 1977 à + ou – 2 ans près.

      • Le camp dans le Valgau avec Christian Catelain c’était en 72, mais je n’étais pas encore animatrice!

  4. colo avec le père Délrio a saint jean le port réunion dans cette maison en fin de colo pour le film du mois passer la bas souvenir souvenir plus les années pour la communion dans les fabriquer a coté

  5. J’aime bien la photo avec le « 2 » (comme on l’appelait : 2 rue Raspail) en premier plan, devant l’église. Car les deux étaient intimement liés, (jusque dans les matériaux : brique et ardoise, évidemment),  mais surtout, le « 2 », c’était le creuset où se forgeait, parfois laborieusement, parfois dans la bonne humeur, la vie de la paroisse et les célébrations.
    Vers 1978, un vent de fraicheur soufflait sur l’Eglise en général et à Sotteville en particulier : les prêtres (M. Maurice, et B. Huck) accueillaient les jeunes dans ce presbytère : moments intenses à réfléchir et participer a des préparations de messes ou de manifestations (Pélés, Cinquantenaire de la JOC, Boscherville, JP2 au Parc des Princes…). Le vent a tourné, et dans sa démolition, on pourrait presque voir un symbole …

  6. d’accord avec vous Patrick Le François ; je recherche tant de souvenirs de mon lieu de naissance ; seriez-vous de la famille de mon ancien médecin le docteur Le François ? Annick.vallee35 @gmail.com

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