La « Voie aux Vaches » a perdu cette appellation en 1880 pour devenir la rue Raspail. Elle se prolongeait alors jusqu’à l’avenue du 14 juillet. Aujourd’hui, la partie située entre la rue Mendès-France et l’avenue du 14 juillet s’appelle avenue Jean Jaurès.
Sur cette photo de 1936, on voit sur la gauche le mur du Château des Marettes (recouvert de lierre). La place de l’Hôtel de Ville a été construite en 1961 à l’emplacement de ce parc des Marettes.
En face, l’église Notre Dame de l’Assomption se dresse au milieu des maisons du centre-ville, hélàs bombardé pendant la 2nde guerre mondiale. Aujourd’hui, seul son clocher dépasse derrière les immeubles de l’Espace Marcel Lods, construits sur cet ancien centre-ville.
A droite, comme on l’a déjà vu dans cet article, la grande plaine a été urbanisée elle aussi…
Au même endroit en 2017 :
Plan de situation et angle de prises de vues des deux photos :
Allez, petit mix habituel des deux époques (2017/1936) :
► VOIR AUSSI : Tous les articles sur la rue Raspail et l’avenue Jean Jaurès
Sotteville au fil du temps... 
C’était encore à la campagne…
Commentaires Facebook :
Guillaume Hazard : Sur la droite, vers 1965_66, ouverture du 1er supermarché de tous les temps à Sotteville, le SUMA, aves Roger Lanzac (la Piste aux Etoiles!! ) qui assurait l’animation, avec des distributions de cadeaux pour les enfants, un évènement ! , nous découvrions ce qu’était un caddy !
13 mars, 23:50
Laurent Vdbk : Exactement ! Ouvert en juin 1965, le premier supermarché de l’agglomération. Je n’en ai pas parlé ici car on ne distingue pas bien l’endroit, mais un article lui sera consacré un jour…
14 mars, 13:35
Moi j’y est vu Rika Zaraï à SUMA
J’y étais aussi ce jour là.
exact en 1965 jy était avec mes frère et soeur a l ouverture du SUMA NOSTALGIE
Oui, je me souviens très bien, enfant, du Suma. Il y avait aussi une consigne pour les bouteilles en verre. On déposait les bouteilles sur un rail et un employé nous dédommageait de quelques centimes.
Moderne et écologique. Une bonne idée de recyclage jusqu’a ce que le plastique hélas, domine.
Merci pour ces souvenirs.